S’il est difficile pour un cœur d’être à la fois gros et léger, le fil Big Cotton y réussit bien, lui!
Un cœur, un deuxième cœur, un troisième… agréable au crochet… et de cinq!
Jolis comme des cœurs, OUI OK. Mais si le mien est pris, que faire ce ceux-ci?????????
Une idée? … sinon attendre que le big fil gris décide de les conquérir…
Les embruns m’invitent. Vite, vite! Vive les vacances à venir…
Bracelets, collier réalisés au crochet toujours.
En attendant les vacances à la mer, visitez la boutique du site 😉 :
Voyez-vous ici un bel arbre multicolore en fleurs?
Et bien non, c’est un marque-page crocheté qui accompagnera joliment vos romans de science fiction tout l’été…
Vous pouvez utiliser le marque-page Ubik sans modération mais attention…
… coincé entre deux pages un peu trop longtemps, il se transforme en monstre tentaculaire pour défier le héro de votre bouquin!
Pierrot, mon gosse, mon frangin, mon poteau,
Mon copain tu m’ tiens chaud.
Pierrot. Pour Voltaire ou pour Renaud au moins nos poteaux ont chaud.
merci Caro pour ces photos inédites du boulevard parisien
Deux mois qu’il traînait, inachevé (clic here), tel un boulet attaché à ma cheville. La satisfaction aujourd’hui est d’autant plus grande, cette fois c’est la bonne. Les manches ballon me tentaient bien, finalement ce sont des mancherons (voir article intéressant sur Thread & Needles) au point de riz.
Ajoutée, une ceinture colorée pour accessoiriser (merci Lydie pour m’avoir glissé ton idée)!
Après au moins 23 essais ratés, j’ai trouvé comment tricoter les manches à mon idée! La technique que j’ai finalement adoptée est celle des rangs raccourcis, qui permet de créer une jolie courbe sur mes épaules (explications claires chez DROPS Design). En gros, le principe est de tourner l’ouvrage à quelques mailles de la fin du rang. Les mailles tricotées restent ainsi en attente sur les aiguilles, et ne sont tricotées que lors des derniers rangs.
C’est un débardeur construit d’1 granny rectangle géant + 1 granny rectangle géant. Le fil coton, que j’aime, s’appelle Fashion Summer Print. Ce sont deux couleurs pastel pour un recto-verso réversible très modé! Et puis comme pour mes zpagetti, il fallait un big crochet.
65 mètres et 50 grammes de 100% coton, *6 pelotes, lavage à la main.
Fainéante et faible aujourd’hui, j’ai fondu au soleil comme mes fondants au chocolat sur nos papilles!
Cette fois-ci je laisse la fameuse recette, super facile:
Ingrédients: une plaque de chocolat noir à pâtisserie-3oeufs-un bon 1/3 d’une plaque de beurre-2 cuillères de farine-200 g de sucre.
Faîtes fondre le chocolat avec le beurre dans une casserole à feu doux. Pendant ce temps, mélangez bien œufs, sucre et farine. Ajoutez le chocolat et le beurre fondus. Enfournez à 180° dans un four préchauffé bien sûr. Ne laissez pas plus de 15 minutes, et même un peu moins si vous avez formé de petites portions comme moi!
Un délice de friandise, accompagné d’une boule de glace à la fraise ou au café.
Cette année, faudra-t-il se mettre tout nu devant ses tomates pour les faire rougir? Pas si sûr. Car tout est possible apparemment: aromates métalliques et cactus de coton poussent sur mon balcon!
Jamais 2 sans 3 et histoire de tester une nouveauté: un fil original tressé, assez brut, qui ressemble à une cordelette (Cotton Cord de chez Katia, 100% coton, machine à 30°, crochet N°6-7). Assez dur à travailler mais les demi-brides sont marquées et se tiennent. Peut-être plus facile à tricoter, ce serait à tenter…
Doublée, zippée et boutonnée.
En tout cas, de ce fil, je ferais bien un tapis ou bien des sets de tables flashy!
Une étole crochetée de dentelle pour la plus belle (qui attend mon cadeau, dévoilé à moitié achevé, depuis bientôt 15j). Dégoté sur le blog d’Hélèneyaya, ça n’a pas été facile facile! Pas retrouvé d’indices… Alors photos à l’appui, j’ai relevé à la loupe, sur mon cahier, les mailles qui pouvaient peut-être aller…
Avec un fil tout doux et satiné (Brisa de chez Katia, machine 30°), j’ai crocheté avec amour en N°3 et en 3 coloris. Compter au moins jusqu’à 20 mais une fois pris le pli, l’étole se dessine simplement en brides et en mailles en l’air.
Une tentative de schéma et d’explications pour celles et ceux que l’étoffe tente:
Commencer par une chaînette de 10 mailles fois X en fonction de la largeur souhaitée. Puis, tourner (2 mailles coulées) et réaliser une bride dans la première maille de la chaînette. Poursuivre avec 8 mailles en l’air, 2 brides dans les 10 et 11ème mailles de la chaînette. Et de nouveau, 8 mailles en l’air pour finir avec une bride dans la dernière maille ou plutôt la 20ème maille. Continuer ainsi en reproduisant cette séquence sur la largeur de l’étole.
Pour la suite, même principe. Mais il vous faudra augmenter peu à peu le nombre de brides en diminuant celui des mailles en l’air: 2 brides-6 mailles coulées-4 brides- 6 mailles coulées, etc.
Ne pas oublier les 2 mailles en l’air pour tourner à chaque changement de rang!
Longueur = 1 m 50
Et bien je crochète des pochettes. Ci-dessous c’est comme un petit porte-monnaie en brides de coton, doublé de fleurs.
Paiement en boutons uniquement.
J’ai reçu en cadeau, une jolie paire d’aiguilles à tricoter en bois. Elle sont directement venues du village natal de Granny, celle qui m’a tout appris (j’ai opté pour le diminutif anglo-saxon depuis que j’ai découvert le granny). A Montmirail, on boit du champagne et on tricote grâce à la boutique Au Fil d’Ariane!
Quand le tricot rejoint l’alpinisme ou comment se convaincre qu’on a plEInnnn de choses en commun! Et oui, bel après-midi de pluie, un temps pour partager une activité ensemble: la corde est au mousqueton ce que le fil est au crochet.
Entraînement. Nœud double du pêcheur contre double bride.
Remarque: à Chamonix, j’avais déjà observé cet étrange parallèle dans un précédent article de septembre 2012…
Un entraînement rigoureux: des grannies et encore des grannies, toujours des grannies.
Il faut prendre son mal en patience mais comme pour une collection, c’est un sentiment de satisfaction à chaque pièce bouclée!
J’ai choisis du pur coton, peut-être une étole pour les soirées d’été.