J’ai reçu en cadeau, une jolie paire d’aiguilles à tricoter en bois. Elle sont directement venues du village natal de Granny, celle qui m’a tout appris (j’ai opté pour le diminutif anglo-saxon depuis que j’ai découvert le granny). A Montmirail, on boit du champagne et on tricote grâce à la boutique Au Fil d’Ariane!
Quand le tricot rejoint l’alpinisme ou comment se convaincre qu’on a plEInnnn de choses en commun! Et oui, bel après-midi de pluie, un temps pour partager une activité ensemble: la corde est au mousqueton ce que le fil est au crochet.
Entraînement. Nœud double du pêcheur contre double bride.
Remarque: à Chamonix, j’avais déjà observé cet étrange parallèle dans un précédent article de septembre 2012…
Un entraînement rigoureux: des grannies et encore des grannies, toujours des grannies.
Il faut prendre son mal en patience mais comme pour une collection, c’est un sentiment de satisfaction à chaque pièce bouclée!
J’ai choisis du pur coton, peut-être une étole pour les soirées d’été.
Zpagetti addict. Encore un panier, mais c’est tellement facile! Très grand celui-là, pour ranger les tonnes de pelotes qui m’attendent.
Cette fois j’ai mélangé différents fils et j’ai utilisé un vrai big crochet.
Le panier se tient mais se déforme facilement et ça lui donne du style!
Le zpagetti rend chaque ouvrage unique et original. Je vous conseille d’ailleurs un tour sur le blog de Broutille pour d’autres jolis modèles!
Comme les premiers pas ou il les premiers mots, il semble que crocheter son premier granny soit une étape essentielle dans l’évolution du tricoteur-crocheteur (je l’ai souvent lu dans les jolis blogs que je visite). Evolution vers quoi au fait… la transformation en machine à crocheter ou peut-être le passage direct au statut de mamie, un plaid sur les genoux? N’est ce pas ce que veut dire le mot GRANNY? Allez parlons d’une certaine maturité alors, mais ma chère, il va falloir peaufiner la technique et accélérer la cadence!!
Départ pour Paris et pour 4 heures d’essais divers au crochet dans le train à grande vitesse.
Voici 5 arrêts sur image qui ont marqué mon voyage.
Au 5bis rue de Verneuil à St Germain des Prés, l’âme de Gainsbar semble être là.
Shopping dans le Marais: j’achète un foulard-papillon en soie dans une jolie p’tite boutique.
Pas d’ombre, seulement les silhouettes découpées: la place du Tertre est sous la pluie.
L’entrée est ouverte au public au Palais de Justice de Paris… et ça vaut le coup d’observer juges, avocats, procureurs, gendarmes « en scène »!
Le marché des enfants rouges est un lieu étonnant, à découvrir absoulement! C’est rue de Bretagne dans le 3ème et le couscous du Traiteur Marocain y est délicieux.