Fais-le toi-même! Et oui maintenant débrouillez-vous tout seul pour confectionner un chouette bandeau rétro!
IL VOUS FAUT:
– du fil, plutôt un coton assez fin. Ici mon fameux fil Fita, directement venu de Lisbonne
– un crochet: prenez un diamètre un peu plus petit que celui conseillé pour votre fil car l’ouvrage se tiendra mieux
– un morceau d’élastique noir large de quelques millimètres
– du fil à coudre noir et une aiguille
– une paire de ciseaux bien sûr!
Commencer par crocheter chaque petit granny. Pour ceux-ci, deux tours suffisent. Pour plus d’explications, cliquer ici.
8-9-10 grannies: à vous de voir en fonction de la taille de votre tête!! 10 grannies me paraissent raisonnables pour faire le tour.
Mais comme je l’ai fait ici, vous pouvez choisir de crocheter 5 grannies et utiliser une longueur plus importante d’élastique.
Assembler vos pièces: pour cela placer deux grannies l’un contre l’autre, recto /recto.
Puis, piquer le crochet dans l’angle à travers les deux grannies, faire un jeté et tirer le fil à travers les deux grannies.
Piquer dans la maille suivante, toujours en prenant les deux grannies, faire un jeté, ramener le fil à travers les deux grannies…
… un dernier jeté et hop tirer le fil à travers les deux mailles.
Utiliser le même point jusqu’à atteindre l’angle opposé. Idem pour assembler tous vos grannies les uns suivants les autres. Mais ne fermer pas!!
Passer l’élastique dans le granny d’un côté et coudre l’extrémité en le repliant joliment.
Ajuster sur vous, pour être sûr que le bandeau vous aille (pas trop lâche), puis coudre l’élastique, préalablement installé à l’opposé de la même façon.
Done.
Les embruns m’invitent. Vite, vite! Vive les vacances à venir…
Bracelets, collier réalisés au crochet toujours.
En attendant les vacances à la mer, visitez la boutique du site 😉 :
Voyez-vous ici un bel arbre multicolore en fleurs?
Et bien non, c’est un marque-page crocheté qui accompagnera joliment vos romans de science fiction tout l’été…
Vous pouvez utiliser le marque-page Ubik sans modération mais attention…
… coincé entre deux pages un peu trop longtemps, il se transforme en monstre tentaculaire pour défier le héro de votre bouquin!
Deux mois qu’il traînait, inachevé (clic here), tel un boulet attaché à ma cheville. La satisfaction aujourd’hui est d’autant plus grande, cette fois c’est la bonne. Les manches ballon me tentaient bien, finalement ce sont des mancherons (voir article intéressant sur Thread & Needles) au point de riz.
Ajoutée, une ceinture colorée pour accessoiriser (merci Lydie pour m’avoir glissé ton idée)!
Après au moins 23 essais ratés, j’ai trouvé comment tricoter les manches à mon idée! La technique que j’ai finalement adoptée est celle des rangs raccourcis, qui permet de créer une jolie courbe sur mes épaules (explications claires chez DROPS Design). En gros, le principe est de tourner l’ouvrage à quelques mailles de la fin du rang. Les mailles tricotées restent ainsi en attente sur les aiguilles, et ne sont tricotées que lors des derniers rangs.
Jamais 2 sans 3 et histoire de tester une nouveauté: un fil original tressé, assez brut, qui ressemble à une cordelette (Cotton Cord de chez Katia, 100% coton, machine à 30°, crochet N°6-7). Assez dur à travailler mais les demi-brides sont marquées et se tiennent. Peut-être plus facile à tricoter, ce serait à tenter…
Doublée, zippée et boutonnée.
En tout cas, de ce fil, je ferais bien un tapis ou bien des sets de tables flashy!
Quand le tricot rejoint l’alpinisme ou comment se convaincre qu’on a plEInnnn de choses en commun! Et oui, bel après-midi de pluie, un temps pour partager une activité ensemble: la corde est au mousqueton ce que le fil est au crochet.
Entraînement. Nœud double du pêcheur contre double bride.
Remarque: à Chamonix, j’avais déjà observé cet étrange parallèle dans un précédent article de septembre 2012…
Fashion Summer Print! ©a c’est un nom qui donne envie de tricoter un débardeur gris-bleuté-chiné.
Sans filet mais avec ce très joli fil, j’improvise aux aiguilles circulaires: diamètre un peu petit je pense, mon point de riz est serré. Je passe au jersey en formant un triangle… toujours au PIF!
La montée vers le col est rude mais je suis assistée de mes arrêts-de-mailles. J’en oublie de laisser place à l’emmanchure qui peut ma foie être pratique pour un débardeur.
Je fais et défais … … …
Hip hop, le voici porté… manque quelque chose à ce débardeur °°° °°° °°°
Des manches! mais oui des manches ballons tricotées au point de riz! Je me lance.
A suivre 😉
Voilà comment tout à commencé. Ou presque.
J’ai trouvé ces énomes pelotes de 120 mètres de tissu recyclé chez Tricotin.com. Le fil se nomme Hooked Zpagetti, semblable au Trapilho portugais. Prix 11,45 euro. Pour les courageuses qui ont du temps, il est possible de créer les pelotes soi-même en déchirant de vieux draps par exemple.
Alors c’est parti pour un sac! Ça va très vite, aiguilles de diamètre 12 minimum requises. L’ouvrage est épais et solide, il se tient bien.
Pour un premier essai j’opte pour une forme simple: je tricote tout droit en jersey et j’obtiens une grand rectangle que je finis par plier en deux. Je couds les bords des deux côtés.
Doublage oblige: je choisis des fleurs pour contraster avec l’aspect plutôt brut du fil. Et puis je couds une fermeture éclair robuste, verte pour donner une touche colorée.
Me voilà équipée pour l’été. Le sac a du poids, il paraît solide.
Manquait quelque chose… un petit coeur pour terminer mon projet!
Pour le prochain ouvrage, je teste le hooked zpagetti au crochet!
Je ressors mon fil de printemps pour réaliser un pin’s au crochet. Il y a presque un an je découvrais la beauté et l’ambiance animée de Lisbonne. Dans une mercerie du centre ville, j’ai craqué sur un fil nommé Fita: léger et lumineux, vendu au mètre. Parfait pour nous habiller cet été. Voici le lien de la boutique Arti Moda, où vous trouverez Fita dans tous ses états.
Une nouveauté ce week-end: un cadre au crochet !! et un super point improvisé, mélange entre l’ananas et l’étoilé me semble-t-il… enfin il rend exactement comme je le voulais.
J’ai crocheté en rond carré en partant du centre, en mailles simples d’abord, avec un fil acrylique de couleur vieux rose mauve… pas facile le départ, j’ai pas arrêté de me tromper!
Et puis une étape que j’aaaaaaaaadore: le choix d’une deuxième couleur. Non, impossible pour moi de prévoir les couleurs à l’avance, sélection sûrement rassurante mais à coup sûr remise en cause au beau milieu de mon ouvrage! Du vert me tente!
Mon joli point en coton vert est finalement assez facile à réaliser, je vous explique:
Faites un jeté puis tirer une boucle dans la première maille. Répétez pour les 3 mailles suivantes.
1 jeté et passez le fil à travers les 9 boucles sur le crochet. Finissez par 3 mailles en l’air. Poursuivez de la même façon en piquant dans la maille suivante du rang précédent.
En diminuant progressivement sur quelques derniers rangs, mon tricot a enveloppé naturellement le cadre en carton, maintenant habillé pour l’été!
Il y a un ouvrage que je connais par cœur en couture, c’est l’ourlet. Comme savoir faire cuire un œuf, très vite, j’ai compris qu’il fallait savoir faire un ourlet, pour pouvoir mettre, dès le lendemain, le pantalon tout beau tout neuf acheté la veille!
Ma machine m’attendait depuis un bout de temps, prenant la poussière dans son garage. Mais cette fois, chez Annie, ce fut mon premier cours de couture! Les bases donc, comme pour une leçon de conduite:
-description des pièces principales de l’engin motorisé: couvercle, guide-fil, sélecteur de tension du fil, griffes, aiguille, sélecteur du type de point, sélecteur de longueur du point, bobineur, volant, releveur de l’aiguille.
-description des accessoires: canettes, aiguilles, coupe-fil, tournevis, burette à huile.
-pédale d’accélérateur et le phare.
-remplir la canette, l’enfilage de la machine et… premiers points pour lesquels il va falloir rouler droit!
Vroummmmmm! un peu encrassée peut être. Thème du prochain cours: le nettoyage de ma machine.
Pour l’instant je suis Annie et elle me surveille dans son rétro…